samedi 21 février 2009

13 février 2009 : B comme...

B comme Brassens… Bière… Bisous…Bretagne

Pour introduire cette soirée, veille de la St valentin, et poursuivre l’Alphabet commencé la fois dernière, Michel M propose d’écouter « Les amoureux des bancs publics » interprété par Renaud, puis par Brassens. Au cours de la soirée ces deux thèmes (amours et reprises) s’entremêleront…





Jean-Marie enchaîne par «parlez-moi d’amour» chanson écrite par Jean Lenoir en 1930 et chantée par Lucienne Boyer. Elle est ce soir reprise par une cithariste et chanteuse française d’origine tunisienne Hend Zouari, Née 1981 à Sfax. Elle est à ce jour une des seules femmes au monde à jouer du qanun (Kanoun) instrument traditionnel de la famille des cithares habituellement réservé aux hommes.




C’est par la douce ambiance de l’album «comiciopera » que Pascal B propose de découvrir Robert Wyatt, né en 1945 en Angleterre. Après avoir formé en 1966 Soft machine où il se distingue par un jeu de batterie très fin, proche du jazz et une voix émouvante de haute-contre, il fonde en 1972 Matching Mole et renoue alors avec un type de musique plus rock et plus mélodique. Avant d'enregistrer le 3eme album, il subit un grave accident qui le laisse paralysé des deux jambes. Il abandonne son groupe et la batterie, et entame alors une carrière solo, où il produit des albums et exécute la plupart des parties musicales. En 1974, il sort l'album Rock Bottom, grand prix de disque Charles Cros, Son album suivant Ruth Is Stranger Than Richard est plus orienté jazz avec des influences de musique africaine. Ses projets solos se politisent et il devient porte-parole du Parti Communiste Britannique. Il revient en 1991 avec l'album Dondestan considéré par beaucoup comme sa meilleure œuvre depuis Rock Bottom. En 1997 son album Shleep reçoit également des avis élogieux. Il en va de même pour son avant-dernier album en date Cuckooland (2003). Son nouvel album, sorti en France en octobre 2007, s'intitule Comicopera. Il est divisé en trois actes, comme un opéra comique. La dernière partie est principalement chantée en espagnol, avec notamment une reprise de la célèbre chanson Hasta siempre comandante.



Dominique C nous plonge dans les mélodies de Randy Newman avec des extraits de deux albums «liitle criminal» d’où est extrait le titre « Baltimore » l’un de ses premiers succès, puis sa dernière production « harps and angels » superbement produit.



Puisqu’on est en Amérique, Michel M lance l’introduction très jazzy de « Dat Dere » interprétée par Rickie lee Jones sur « Pop pop » l’album de ses reprises Jazz. Mystérieuse voire un brin recluse, Rickie Lee Jones est l’une des artistes jazz-pop américaines les plus originales et les plus marginales. Respirant la douceur et la féminité, elle dégage aussi la force et la singularité de l’artiste qui ne s’est jamais trahie dans sa production.





De l’Amérique à la Bretagne il n’y a qu’un océan que Jean-Bernard T ose franchir en évoquant des souvenirs de vacances. En écoutant « mho Trunny » du groupe Follenn l’ambiance du fez-nos n’est pas loin. Il fallait un peu de chose pour que Cécile W nous conduise sur les pas de danse et que la saveur des galettes fasse saliver pos papilles.


13 février 2009 : De Montréal à la Touraine

De Montréal à la Touraine

Jean –marie B retraverse l’Atlantique pour aller à Montréal écouter les Cow-boy fringants. C’est un groupe québécois de musique folk à saveur de rock et de country. Leur engagement pour, notamment, l'indépendance du Québec et l'environnement provoque un grand engouement au Québec, particulièrement auprès d'un public jeune (majoritairement âgé de 15 à 30 ans). En 2006, ils ont lancé la fondation Cowboys Fringants qui lutte pour protéger des portions du territoire québécois. Leurs chansons sont, la plupart du temps, critiques de la société québécoise, tout en étant teintées d'ironie.





Ce détour par le Québec fait penser à une chanteuse quebecquoise. Michel M propose d’écouter une reprise surprenante du titre «le cinéma » de Claude Nougaro, interprété par Terez Montcalm. Manipuler les rythmes et les mots pour les réchauffer, les charger de lumière, les rendre intemporels... C'est de la sorte que Térez Montcalm éclaire le paysage musical. Avec sa voix toujours lascive et généreuse, l'auteure-compositrice-interprète envoûte, un peu à la façon du crooner. il Suffit de s'abandonner à Voodoo le CD à découvrir, pour en avoir une fois de plus la preuve. La chaude ambiance, les envolées rauques et ardentes, le réconfort... Tout y est. En bonus on écoute « love » le premier titre de l’album.


Michel M continue avec les femmes. Tok Tok Tok dans l’album «I wish» nous livre des reprises sympathiques. la voix chaude de Tokunbo et le sax sensuel de son partenaire occupent l’espace. Le duo est surprenant et ne fait qu'un.



Après une petite pause pour réorganiser les mets et les boissons, Alain N nous emmène dans le prélude d’un opéra de Pietro Mascagni « Cavalleria Rusticana » composé en 1890. Mascagni a écrit 15 opéras, une opérette, plusieurs magnifiques œuvres orchestrales et vocales, ainsi que des chansons et de la musique pour piano. Ses opéras lui ont valu des succès phénoménaux de son vivant, en même temps qu'il poursuivait une carrière de chef d'orchestre couronnée de succès. L'approche que Mascagni avait de l'opéra était très différente de celle de son ami et rival Puccini, ce qui a pu être l'un des facteurs qui ont conduit à méconnaître la valeur de sa musique.



Sans Transition Michel M compose le 02 …. Pour joindre Manue B et Phil M en Touraine. La magie de la technologie leur permet de nous dire tout le bonheur procuré par l’écoute de «new slang». Après l’écoute collective et studieuse l’assemblée confirme que c’était bien sans trop savoir qui s’était. La dématérialisation complexifie la compréhension. En fait après quelques recherches The Shins a été formé en 1996 à Albuquerque (par d'anciens membres de Flake
Music). Leur musique est généralement qualifiée de rock indépendant, surfant sur plusieurs genres musicaux tels que la pop (dans la lignée des Beach Boys), les musiques country et folk. Merci les ondes.

13 février 2009 : Les reprises de Philippe W

Les reprises de Philippe W

Après la Touraine C’est au tour de Philippe W de nous présenter la playsliste concoctée avec Cécile W placée sous le signes des reprises :

« Le vent », Catherine Ringer, BO du film reines d'un jour, Si par hasard sur le pont des arts…version percutante avec fanfares cuivrées et voix friponne.


« la bonne du curé/ Bona Curesky » revue et corrigée par le Bortsch Orkestra, qui propose un désopilant mélange disco-funk-musette en vrai faux polonais.


Down Town, crée par Pétuna Clark est repris ici par the B52’s, Originaires d’Athens en Géorgie, les B-52’s ont annoncé les années 80 avec une musique pop-rock acidulée et dansante et un look haut en couleurs, remettant la science-fiction, le rock ‘n’ roll fifties et les coiffures « choucroutes » au goût du jour. Nés en pleine explosion punk à la fin des seventies, les B-52's font figure d'Aliens. Influencé par les films de série Z, le pop Art d'Andy Warhol, Star Trek ou le cartoon les Pierrafeu, le quintet se démarque de l'esthétique cradingue qui domine alors à New York avec les Ramones, Richard Hell ou Patti Smith. Les B-52's réhabilitent le kitsch! Leur premier album (1979) est un modèle du genre, et trente après, ils sont toujours là.


The cow boy junkies, propose une reprise de « Sweet Jane » de Lou reed. Cowboy Junkies est un groupe canadien de rock de musique aux consonances country ou folk, formé par les trois frères et sœurs Timmins. Leur disque le plus connu, considéré comme leur chef d'œuvre est The Trinity Session enregistré en live en une seule journée avec un seul micro dans l'église de la Sainte Trinité (Church of the Holy Trinity) de Toronto. De celui-ci est extrait leur reprise de Sweet Jane du The Velvet Underground. La magnifique voix de Margo Timmins servie par les mélodies du groupe crée une ambiance unique.


La ballade anti militariste « Come away Melinda » composée par Fred Hellerman et Fran Minkoff en 1963 est interprétée ici par Uriah Heep, groupe de rock britannique fondé en 1969. Bien que ce groupe ait beaucoup évolué dans son style et ses membres, les années les plus représentatives du groupe sont entre 1970 et 1976. Uriah Heep n’a que rarement été apprécié par la critique qui le considérait comme un sous-produit par rapport à Deep Purple ou autre Led Zeppelin Aujourd'hui, il serait à classer dans le heavy métal ou le métal progressif.


“Come together”, des Beatles est repris ici par Ike and Tina Turner, duo américain spécialisé dans le rhythm and blues, Tina Turner est une chanteuse, actrice, compositeur et danseuse américaine. Elle a remporté 8 Grammy Awards. Les contributions constantes de Turner envers la musique rock lui ont permis d'acquérir le titre de "Queen Of Rock & Roll". En plus de musique rock, elle s'est illustrée également dans le rythme and blues, la Soul, la dance et la musique pop.


69 erotic year, l’année érotique chantée par serge Gainsbourg est reprise ici par Michael John Harvey, connu sous le nom de Mick Harvey. Né en 1958, il est un musicien rock australien. À la fois musicien multi-instrumentiste, compositeur, arrangeur, producteur et chanteur, il est surtout célèbre pour sa collaboration avec son compatriote Nick Cave, qu'il accompagne dans toutes ses aventures musicales depuis leur adolescence.


Moriarty est constitué de cinq artistes d'origine française, américaine, suisse et vietnamienne. Les membres du groupes ont été majoritairement élevés en France, de parents américains Le groupe se fait repérer lors de son passage au Printemps de Bourges 2006 En 2008, les Moriarty étaient pour la seconde fois au festival Solidays où ils avaient déjà eu l'occasion de jouer trois ans auparavant grâce au prix Paris Jeune Talent[ Cette même année ils ont également donné des concerts au festival des Eurockéennes de Belfort, aux Francofolies de La Rochelle ainsi qu'à la Fête de l'Humanité. Ils se sont produits en octobre 2008 dans la salle de L'Olympia, à Paris, de nouveau à guichets fermés.Le groupe puise son inspiration dans la musique traditionnelle irlandaise, la country et le blues, avec des instruments comme la contrebasse, l'harmonica, le kazoo, tout en ajoutant dans ses compositions originales les sons d'une machine à écrire, d'une valise, d'une cloche d'hôtel. Le groupe joue autour d'un seul micro sur scène, habitude prise lorsqu'il faisait des premières parties de concert, où la qualité du mixage est souvent inégale.En mars 2008, le groupe enregistre pour une compilation, une reprise du titre "Enjoy The Silence" de Depeche Mode. Alors en tournée, ils enregistrent leur version successivement dans une chapelle abandonnée en bordure d'une route, puis dans un grenier. C'est cette dernière version qui est retenue. Enregistrée dans l'urgence cette reprise simple et dépouillée séduit et est diffusée le lendemain de son enregistrement sur radio Nova.En 2008, Moriarty fait partie des 10 artistes nommés pour le prix Constantin.Entre temps, on peut voir leur nom figurer parmi la liste des invités du deuxième disque de la chanteuse franco-anglaise Emily Loizeau. Moriarty fait également partie des artistes invités sur le projet The Fitzcarraldo Sessions, issu du groupe Jack The Ripper.


Pour terminer cette super sélection Philippe W propose un titre plus consensuel. « Il ont changé ma chanson » revisitée ici par Arno et Stéphane Eicher. C’est une reprise d’un classique américain "WHAT HAVE THEY DONE TO MY SONG" créé par Mélanie Safka à la fin des années 60 et interprété en français par Dalida… La puissance du rock d’Ostende au service de la langue française.


En prolongement, Michel M propose la reprise de "Money" des Pink Floyd interprétée par Mina Agossi, une chanteuse de Jazz moderne Frnco-béninoise. En trio elle est accompagnée par l'excellent batteur Ichiro Onoe et Eric Jacot la contrebasse. Un régal !


13 février 2009 : De Jerusalem... aux Cancres

De Jerusalem aux Cancres

Il faut bien un moment de transition après cette overdose de découverte. Michel M propose un petit caprice n° 24 en la mineur de Paganini interprété au violoncelle par Stéphanie-marie Degand. Ces quatre minutes suffisent à quitter l’univers occidental pour aller vers Jérusalem.


Annie B nous présente bien plus qu’un disque, c’est une démarche œcuménique qu’elle promeut. Sous la conduite de Jordi Savall un livre disque réunit trois religions pour chanter Jérusalem la ville des deux paix, céleste et terrestre. Ce projet a été conçu pour rendre hommage à cette ville unique, construite et détruite sans cesse par l'homme dans sa quête du sacré et du pouvoir spirituel. Jérusalem est beaucoup plus qu'une ville sacrée, elle est un symbole pour l'humanité toute entière, elle rappelle à tous, en ce XXIe siècle, la difficulté de vivre ensemble. L’écoute en aura marqué plus d’un et si j’ose dire un ange est passé en ce moment de recueillement.

Il fallait bien un Italien à la voix éraillée et charmeuse pour nous faire revenir sur terre. Laurence D propose deux titres extraits du best of de Paolo Conté, « Sparring partner » et « comedi ».


J'arrive à la ville chante Lhasa dont Michel M espère avec impatience l'arrivée de sa prochaine production.


C’est de la comédie de la vie et plus particulièrement celle de l’école que nous chante Leny Escudero. Son père (d'origine marrane) et sa mère, républicains espagnols, analphabètes, quittent leur pays ravagé par la guerre civile en 1939. Ils s'installent à Paris dans le quartier de Belleville. Par la suite, il survit grâce à des petits métiers : il commence par être terrassier et installe des canalisations, la pioche à la main. Il devient ensuite carreleur et s'établit à son compte. Sa carrière de chanteur commence en 1957.En 1962, il sort son premier disque, et c'est le succès, la célébrité et la fortune. Pourtant, il abandonne tout pour un tour du monde : Amérique du Sud, Moyen-Orient, États-Unis, Russie, Afrique, il va partout. Au Dahomey, il construit une école « en dur » en pleine brousse. Son album Escudero 71 reçoit le Grand prix de L'Académie Charles Cros. Il représente la chanson française à thèmes des années 1970-1990. Auteur-compositeur et interprète, sa voix est très caractéristique, car elle est prenante, intensément émotionnelle, et surtout empreinte de rigueur et de sincérité. Ses paroles traitent de thèmes plutôt graves et tristes tels que la guerre d'Espagne (album Vivre pour des idées), les dictatures, et la maltraitance des habitants de notre planète (album la Planète des fous). Jean-Bernard T nous fait écouter les 15minutes du « cancre ». Je vis tout seul au fond d'la classe /Je dis je vis mais pas vraiment/J'ai pas d'cervelle, j'ai que d'la crasse/Faut s'faire tout p'tit, petitement/Et pendant que les purs, les vrais intelligents/Vous savez ceux qui sont toujours au premier rang/Pendant qu'ils vivent la vie des autres/La vie des bons auteurs, la vie des douze apôtres/ Moi j'vis la mienne, et vive le naufrage/Moi j'vis la mienne, et vive le voyage…..


Pour enchaîner avec un autre poète, Michel M propose « la mémoire et la mer » de Leo ferré. No comment !

13 février 2009 : Amours toujours

Amours Toujours

La mer nous emmène vers Cuba et ses rythmes chaloupés. Raul Paz vient réveiller les souvenirs de ceux qui sous le charme l’on vu en concert à l’Olympia …de Lomme !

heureusement Jean-Marie B est là pour nous ramener à notre terre du nord. Dans sa besace ce soir le violoncelliste William Schotte chante le «Jame Deen de mon village ». Né dans les Flandres maritimes et ainé d'une famille modeste, William Schotte devient très vite manœuvre au chantier naval de Dunkerque suite à un manque d'enthousiasme pour l'école ... Il achète alors sa 1ère guitare et s'engage comme beatnik sur les routes. William apprend la musique sur le tas et se tourne rapidement vers la contrebasse, avant de trouver sa véritable voie, le violoncelle.

Véritable "touche a tout", c'est après avoir composé pour le théâtre et la télévision qu'il se lance dans la chanson : c'est la scène, les tournées et les premiers succès. Le groupe sort en 1994 "Geel en Swart", en 1996 "Au roi du Potjevleesh", en 1998 "Les echos du Westoek" (Westoek signifie "coin de l'Ouest"), en 2002 "Le grand Biscornu" fait de William un "poète halluciné" reconnu : Drôlerie, brio, sensualité et émotion sont au rendez-vous. En 2005 sort "Le bal des Amours".

Retour vers les années 1990 avec Laurence D. En 1986, Mark Knopfler décide de marquer une pause dans l'aventure Dire Straits. Il réunit trois des ses amis, dont l'inséparable Guy Fletcher, et forme le groupe: The Notting Hillbillies. Le premier album, qui explore les territoires du blues et de la country est rendu public cette même année: "Missing... presumed having a good time". Le succès est immense, au grand dam des musiciens qui ne recherchaient pas le succès. Les membres décident alors, dans un commun accord, de mettre fin à l'aventure. Le groupe s'est cependant réuni à plusieurs occasions lors d'événements, comme des concerts de charité. Une tournée de 12 concerts a notamment été organisée en 1997 au Royaume-Uni. Un seul Cd à leur actif dont est extrait ce soir « run me down » et « Your ownsweet way » .

Monique N dit «moumoun» apprécie particulièrement la voix grave et puissante de Cassandra Wilson. Nous aussi. On la découvre ici dans « lover come back to me ».

La soirée tire à sa fin, l’écoute et moins soutenue. Qui a des souvenirs de Buika proposée par Michel M ? c’est pourtant une merveilleuse chanteuse. Concha Buika, de son nom Maria Concepción Balboa Buika, est une chanteuse espagnole d'origine équato-guinéenne, née en 1972 à Palma de Majorque (Espagne). Elle grandit parmi des gitans et sa musique mêle le flamenco avec le soul, le jazz, le funk et la copla. La voix de Buika possède à la fois les inflexions rauques d'une diva du jazz, les mélismes d'une grande du flamenco et le tempo d'une reine africaine. C’'est l'une des chanteuses les plus singulières du panorama de la musique espagnole actuelle. A refaire découvrir plus tard…

De l’Espagne au Portugal il n’y qu’un pas franchi allégrement pour découvrir Maria Teresa. Elle est née en France de parents portugais, elle chante la tradition populaire de son pays d’origine et celle du Brésil à la lumière de sa double identité. Le timbre suave de Maria Teresa fait vibrer le cœur d’un fado qu’elle a appris auprès de sa mère. Michel fait écouter un extrait de l’album «O mare»


Pour aller vers une fin et revenir aux amoureux, la voix de Jacques Brel chante
«Orly». L’émotion est à fleur de peau et la chanson bouleversante, triste et belle.


Laurent Voulzy remonte le moral sur la septième vague. On enchaine « derniers baisers » et « the shadow of your smile »

Enfin Michel M surprend son monde avec le fils d’Higelin Arthur H qui délire grave sur un titre disco à souhait « dancing avec Madonna »… et si on allait en boite ?

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Epilogue : Amours et reprises, ces deux thèmes se sont entremêlés tout au long de la soirée, une fois encore riche et dense. Les liens se tendent, se distendent, craquent, se reprisent, se reprennent, se tissent pour notre plus grand bonheur… la vie quoi.


Merci encore à tous pour cette soirée.


En bonus, pour les assidus de la lecture de ces pages , Monique V de Grenoble nous envoie l'adresse du blog des discothaires de sa ville, salut les montagnards ! :

http://www.bmol-grenoble.info/

Bonnes découvertes....